Voilà, c'est fini ! Notre aventure Ulule a pris fin le 27 novembre et avec succès !
Cette expérience a été forte en émotion, un réel ascenseur émotionnel !
Vous avez été formidablement généreux•euses et nous vous remercions
INFINIMENT d'avoir cru en nous, en Plump ! Vous pouvez être fiers•ères
de vous !!!
Cette semaine nous
entamons les démarches administratives - et pas très sexy - qui nous
mèneront à la concrétisation de la création d'entreprise. Nous ne
manquerons pas de vous informer de tout ce qu'il va se passer ces
prochains mois.
Plump est né d’un constat : il n’existe pas de magazine dédié aux beautés colossales et à la mode grande taille.
Depuis 2012, il existe sous forme d’e-zine gratuit.
Il a pu voir le jour grâce à une équipe rédactionnelle bénévole et
motivée par la fraîcheur et la nouveauté du concept. Il compte à son
actif déjà 8 numéros, ainsi qu’un calendrier 2015. Au cours de ces 8
numéros, le magazine a déjà bien évolué et est suivi par quelques 2 100
lecteurs (en moyenne) par numéro*.
* Statisitiques Issuu septembre 2016
L’objectif est donc désormais de le publier en kiosque.
La ligne éditoriale évolue et Plump deviendra donc un magazine all-size : un magazine consacré à toutes les femmes, toutes les morphologies, tailles, origines, genres, aspirations, etc.
Plusieurs
rubriques seront proposées : beauté, mode, actualités, cuisine,
culture, coup de gueule, bien-être, santé, sport, société… pouvant
évoluer au cours des numéros. Des sujets profonds seront abordés de
manière sérieuse mais non sans humour, autodérision et ironie.
Informer
et conseiller les femmes qui ont leur place dans une société où la mode
ne se résume plus qu’à une question de taille, de couleur de peau ou de
style.
La femme
d’aujourd’hui souhaite s’assumer, s’accepter et se dévoiler, malgré les
injonctions dictées dans la presse féminine actuelle. C’est donc notre
objectif que de proposer un magazine adapté à ces femmes, de plus en
plus en demande. Ou plus encore, Plump s’inspirera de ces femmes.
Réaliser, imprimer et diffuser un magazine coûte la peau du c** cher.
Pour
ce faire, en plus de casser nos tirelires personnelles, nous avons fait
appel à un organisme d’aide à la création d’entreprise qui garantie
l’accès à un crédit bancaire de qualité, en complément de prêts
d’honneur à 0 %. Qui dit crédit, dit apport personnel et nos petites tirelires et les quelques pièces retrouvées au fond du canapé ne suffisent pas.
Vos précieux dons serviront donc à couvrir cet apport manquant.
Julie Conduché :
graphiste de formation, elle a exercé dans diverses entreprises, ce qui
lui a permis de découvrir plusieurs modèles économiques et de s’y
adapter. Après des débuts de maquettiste, elle devient responsable
d’équipe dans une entreprise de reprographie. S’en sont suivis 11 ans de
graphisme dans un groupe de presse et d’édition. Julie apporte donc
créativité graphique et conceptuelle, et maîtrise la gestion d’équipe,
administrative et commerciale.
Laurène Hoffmann :
après un master de traduction allemand, Laurène se spécialise dans
l’édition via un master d’ingénierie éditoriale et communication.
Laurène sort de six ans d’expérience dans la presse, en tant que
rédactrice en chef et sait donc gérer la réalisation d’un magazine.
Rigueur, autonomie, responsabilité, confiance sont autant de qualités
dont elle fait preuve. Parallèlement à ça, Laurène gère un centre
équestre par son rôle de présidente : une approche de management, de
gestion d’entreprise, incluant le respect d’un budget, la communication
avec l’équipe et l’assurance du bon fonctionnement de la structure.
(… et sinon, on sait aussi se marrer !)
Et toute l’équipe :
composée de toutes celles et ceux qui nous soutiennent et nous
entourent depuis le début, nous encouragent… et elles/ils sont
nombreux ! Rédactrices/eurs, photographes, illustratrices/eurs,
correctrices/eurs, maquilleuses/eurs, coiffeuses/eurs, plumpettes,
ami(e)s, famille, elles/ils se reconnaîtront !
Réaliser un magazine est un vrai travail d’équipe et ne peut se faire qu’à deux !
Après quelques mois d’absence, Plump est de retour… plus frais que jamais, avec un nouveau look ! Nous espérons qu’il vous plaira ! Nous vous en parlions dans le dernier numéro, l’équipe travaillait d’arrache-pied sur le création de la version papier de Plump… et c’est toujours le cas ! Nous espérons pouvoir vous présenter le premier numéro papier très bientôt…
En attendant, place au printemps, place à l’été, place aux beaux jours et à la bonne humeur. On veut que vous vous aimiez, que vous vous sentiez bien dans votre peau et votre tête, bref on veut du BODY POSITIVE ! Et pour affronter l’été, Plump vous donne des conseils pour passer des instants body positive ! Audrey a testé pour vous L’École des Filles de Joie et vous raconte son expérience burlesque, une façon d’être à l’aise avec son corps. Et qui dit été, dit sea, sex and sun ! Et nous allons parler de sexe, plus précisément de bien-être et de sexe… ou comment vous libérez de vos complexes au lit ! Cuisine, beauté, guys, musique, culture… ne sont pas oubliés et sont au sommaire de ce numéro.
Nous profitons de ce post pour vous rappeler que ce magazine existe grâce à la collaboration entièrement non rémunérée de nos rédacteurs-rices, illustratrices, photographes et modèles. Nous leurs sommes d’une grande gratitude, pour l’énergie qu’ils-elles dépensent pour faire de ce magazine ce qu’il est.
Un grand merci à Véro, Audrey B., Marion (la petite), Sophie, Cyril et Jérémy pour tout et particulièrement pour leur fidélité. On n’oublie évidemment pas Julien pour son regard bienveillant sur cette nouvelle formule.
Bienvenue à Jihane, Marion (la grande), Olga, Ayda, Julia et Jeanne, nos nouvelles recrues !
Un gros big up à nos modèles pour leur confiance : Zohra, Mickaël, Marine, Charles-Élie et Fanny.
Un énorme merci à Lily Hook, photographe et femme engagée, qui sait si bien nous comprendre. Un grand bravo à Louisa, future grande MUA, qui a assuré sur son tout premier shooting.
Bonne lecture, et à très bientôt pour de nouvelles aventures !
Il nous aura fallu un peu de temps pour pouvoir reprendre une activité normale et poster un petit article sur notre dernier coup de cœur...
Enfin, nous voici à nouveau opérationnelles et décidées à reprendre une vie quasi normale !
Pour celles et ceux qui nous suivent depuis le début, vous connaissez notre attachement tout particulier à Pauline et Julie, créatrices prêt-à-porter "all size". Il nous était donc impensable de ne pas vous parler de leur dernière actualité.
Après deux années passées dans leur petit atelier/ boutique, Pauline et Julie ont su créer une proximité, un lien entre elles, leur clientèle et leur vie de quartier. C'est ce rapport qui les a poussées à mieux comprendre le monde et parallèlement, la mode !
Le choix de leur nouveau lieu de création et de partage était donc évident : un ancien bar situé dans le XIème arrondissement, quartier en perpétuel mouvement, populaire, multi-générationnel où fourmillent des créateurs de tout horizon.
Il y a quelques semaines, Pauline et Julie se sont donc installées dans
une nouvelle boutique/atelier, un concept store où vous pourrez
évidemment retrouver leurs collections prêts-à-porter et bijoux, mais
aussi découvrir de jeunes créateurs français tout aussi talentueux !
92, rue Jean-Pierre Timbaud / Impasse de la Baleine - Paris 11ème
La team
est heureuse de vous annoncer la mise en vente du tout premier
calendrier Plump, dans lequel vous découvrirez les superbes photos
artistiques de Julien Ysebaert.
Vous pouvez d'ores et déjà le commander en cliquant sur le lien suivant : http://plump-lemag.blogspot.fr/p/calendrier.html
Ne traînez pas, édition en tirage limité ! Il n'y en aura pas pour tout le monde ! Et il paraît même que c'est bientôt Noël ?!
Cette édition n'est plus en vente ! Bientôt le calendrier 2016 !
Il y a quelques temps, nous annoncions la mise en vente de la version papier de ce numéro. Or, vous pourrez constater qu’il est encore gratuit et en ligne ! Nous travaillons d’arrache-pied pour que Plump puisse atterrir un jour entre vos mains. Patience...
Dans ce numéro, un ancien gros se livre au détour de quelques questions : un témoignage sans tabou. Nous avons fait la connaissance d’Angélique Delestré, héroïne d’Ange & Like, web série pertinente et impertinente ! Attention ! Il y a aussi du scoop, en page 44 ! Les essentiels sont toujours au rendez-vous : beauté, sport, tendances, cuisine, musique et web, etc...
Un petit tour du côté des States qui vous mettra l'eau à la bouche ;
Les 5 clichés du parfait BOBO ;
Découvrez le sexting et le roller-derby (à ne pas pratiquer en même temps...) ;
Rafraîchissez-vous avec les eaux florales ;
Restez in cet été avec nos sélections tendances femme et homme ;
Inspirez-vous de nos pages mode en (re)découvrant les futurs best des créateurs grande taille, à qui Nous avons posé 3 questions pour mieux les connaître ;
Salivez devant nos 3 recettes estivales et préparez vos bagages grâce à notre DIY, le tout en musique !
Si vous êtes punis et ne partez pas en vacances, surfez sur les 10 sites et blogs choisis par notre experte.
Et dans nos kifs de la rédac, une petite dédicace à " Colère : Nom féminin ".
Aujourd'hui, comme bien souvent sur le blog, on va parler accceptation de soi. On en parle souvent ici, le plus souvent d'un point de vue féminin... Mais on sent que le point de vue d'aujourd'hui va contenter tous les genres !
D'ailleurs, on va bazarder l'expression "acceptation de soi" et la remplacer par "fappy".
Fappy, c'est un mot inventé par Channing Tatum (ouiii, OUIIIII, lui qu'on a vu sous toutes les coutures ou presque dans le film "Magic Mike") et sa femme (ah, oui, ça fait douche froide là, tout de suite, mesdames), sur le plateau du talk-show d'Ellen DeGeneres.
Fappy, c'est quand on est en formes et qu'on est content de l'être.
Si Channing Tatum a inventé ce mot, c'est que pendant 2 ans, il a enchaîné les tournages où il devait avoir une forme et un physique parfaits. En 2014, il prend un petit break (et des Kit-kats ?) du grand écran et arrête le sport. Il retrouve du coup quelques petits bourrelets ainsi que sa famille, et tout cela ne semble pas déplaire à sa femme.
La preuve donc qu'être vedette de cinéma, beau gosse et avoir quelques bourrelets n'est absolument pas incompatible. Et que les mecs plumpy, ça dépote !
(et tout particulièrement vous, cette fois, Messieurs les Plumpy)
Vous en avez marre d'être les
éternels oubliés des magazines ? La mode et les bons plans, ça n'est
réservé qu'à la gente féminine ?
Mais non ! Chez Plump, on sait que vous nous lisez, tapis dans l'ombre, et nous ne vous oublions pas !
Pour vous remercier d'être venu nous lire, voici un article "bonnes adresses shopping" 100 % hommes grands et forts (et surtout : beaux !) !
Zach Galifianakis, Plumpeur so graouuuuu ! // GQ Août 2010
On commence par une adresse qui a le mérite d'être claire comme de l'eau de roche : BigXXXXXL.
Nichée à deux pas d'Odéon, en plein cœur de Paris, cette boutique propose autant de marques que de styles. Que vous soyez classique, sportswear ou en pleine réfection de votre dressing, le choix et l’éventail de tailles feront que vous trouverez votre bonheur.
La boutique se situe au 12, rue de l'ancienne comédie, dans le 6e arrondissement.
Ensuite, non, on ne reste pas qu'à Paris ! Partout en France, il est possible de trouver des vêtements grande taille.
Plusieurs boutiques, dont nous allons évoquer les noms dans les lignes à venir, ont pignon sur rue à Paris (ahh la ville de la mode !) mais également en province. Et s'il n'y a pas de magasin en province, il est toujours possible de se faire livrer grâce à cette merveilleuse invention qu'est la e-boutique ! Size Factory est établi à Paris mais aussi en région lilloise. En plus de la boutique en ligne, vous pourrez donc essayer directement les modèles en boutique. Il est possible de retourner et d'échanger les articles commandés pendant 90 jours.
Le site Homme Fort propose exclusivement en vente par correspondance. Les tailles vont jusqu'au 12XL et les promotions sont légions sur le site (fins de série, prix dégressifs...). Dans les rayons (virtuels), il faut noter des équipements de sport et notamment de ski (profitez-en, c'est de saison !)
Le magasin Rafal, est établi à Paris, à Saint-Lazare, depuis 1934. Mais ne vous attendez pas à trouver des vêtements vieillots, car après 80 ans d'existence, le magasin possède également son e-boutique. Il y a peu de modèles présentés sur le site internet actuellement mais gageons qu'il foisonnera bientôt de nouveaux modèles, à l'occasion de la sortie des collections printemps/été !
Strasbourg, Bordeaux, Lyon et Lille, c'est là que vous trouverez les magasins Capel (preuve qu'on peut trouver des vêtements grande taille en dehors de Paris !). Beaucoup de marques y sont disponibles et le site est très efficace pour vous aider à trouver ce que vous recherchez. Un seul bémol ? Les prix, qui sont un peu plus élevés que dans les autres enseignes que nous vous avons listées.
Si votre "tailor is rich" (ou si vous aimez le thé et le tweed), Marks & Spencer est paré pour vous rhabiller ! Avec la collection "Big & Tall", à vous le style "Brit Chic", des pieds à la tête. Il est possible de se faire livrer dans le Marks & Spencer le plus proche de chez vous ou de recevoir tranquillement le colis à la maison.
Pour ceux qui font attention à leur budget mais qui sont un peu fashion victim sur les bords, C&A fait également des collections dédiées aux grandes tailles En revanche, cette collection reste assez difficile à trouver. Si vous êtes à Paris, on vous conseille d'aller voir dans les plus grandes boutiques (Rue de Rivoli et à La Défense). En province, vous devriez avoir plus de chance de débusquer ces articles !
Pour finir, si vous aussi vous en avez marre de ne pas trouver votre taille chez ces salauds deBrice, Jules et compagnie, nous relayons le message d'un responsable de magasin de l'une de ces enseignes : "Non, nous ne faisons pas de grandes tailles mais en vous faisant entendre auprès de la direction de notre enseigne (par des courriers, par exemple), il est possible de faire évoluer les choses ! C'est vous qui pourrez faire en sorte que nos collections changent et s'agrandissent!"
Alors à vos crayons pour la revendication ou à vos cartes bleues pour une session de shopping intensif ?